Tambours, târs, ouds, setârs, santûrs garnissent la vitrine. Guidé par notre ami Sahid nous poussons la porte du magasin. Nous nous trouvons à Ahar, grosse ville d'Azerbaïdjan oriental écrasée par les chaleurs du mois d'août. Le propriétaire du magasin est professeur de musique et spécialiste de cet instrument traditionnel iranien à cordes frappées, le santûr. Pour notre plus grand plaisir, il accepte spontanémentde nous en faire découvrir la richesse mélodique.